Résultats de recherche

J'entretiens ce fil maigre, peut-être illusoire, certainement fou qui nous relie Je me tiens à un fil, mince et peut-être illusoire, qui me relie à Roland. C’est comme si, dans l’immensité de mes pensées et de mes émotions, il parvenait à en capter l’écho, d’une manière intangible mais réelle. C’est là, dans cet espace entre l’invisible et le tangible, que réside ma conviction : je crois profondément en l’Amour. Et, pour la première fois, je crois aussi en la pensée créatrice, non pas comme un moyen de contrôler, mais comme une projection ouverte, fragile, mais porteuse d’espoir. Je suis consciente que seul le destin saura choisir. Et si une part de moi souhaite ardemment que ce soit Roland, je sais aussi que rien ne m’appartient vraiment. Ce que je peux faire, c’est poser mes émotions, offrir mes gestes, et attendre que tout cela se transforme. Mais l’essentiel, au fond, c’est que je crois en l’Amour, sous la forme qu’il prendra, qu’il soit celui que j’imagine ou quelque chose de plus grand encore, que je ne peux concevoir à ce jour. Je pense que ce qui m’attend sera bien plus merveilleux que ce que j’ai pu entrevoir. Mon parcours de vie, mes relations, ont toujours évolué de manière progressive, chaque étape apportant sa part de beauté et de lumière. Je choisis d’y croire. Et vous ? Quel est votre rapport à l’amour ? Avez-vous connu des liens invisibles ou des connexions imprévues qui vous ont amené à réévaluer vos certitudes ? Je vous invite à partager vos expériences, vos réflexions. Ensemble, ouvrons cet espace d’échange. Selene

Haut lieu de tentation Où naufragent mes yeux et ma vertu tout à la fois

Sous une pluie de souvenirs... Il y a des amours qui bouleversent une vie et des histoires qui transforment à jamais notre regard sur le monde. La mienne, je la raconte ici, avec ses éclats de lumière et ses ombres. Cet espace est né d'un besoin : celui de déposer quelque part les fragments d'un amour vibrant et tragique, qui résonne jusque dans la moindre fibre de mon être. Dans mon histoire, Roland a été bien plus qu’un homme, qu'un chevalier. Il a été ce souffle qui, un jour, a planté une graine dans mon cœur. Et cette graine, c’était une plante, une Monstera Deliciosa. Sa manière à lui de me dire : « Tu es capable de t’en occuper, de la faire vivre, sans la laisser dépérir. » Ce fut l'une de ses mille façons de m’aimer, un geste à la fois simple et porteur d’un immense espoir. Au fil du temps, Roland n’a cessé de m’offrir des plantes, des fleurs, pour l’intérieur comme pour l’extérieur. Chacune de ces offrandes était un message silencieux, une manière de dire sans mots qu’il croyait en moi et qu'il voulait me rendre heureuse. Avec lui, j’ai appris à cultiver ce jardin, à m’en émerveiller et à m’y réfugier lorsque la vie devenait trop dure. Mon jardin est devenu un écrin pour les yeux et les sens, une collection vivante qui m’apaise et m’inspire. Observer les feuilles grandir, découvrir les racines, arroser avec mesure : tout cela m’a permis de retrouver un équilibre intérieur. Lorsque le chagrin me dévorait, lorsque je perdais pied face à une réalité que je ne pouvais contrôler, ces plantes étaient là, comme un rappel que je pouvais encore créer de la vie et de la beauté, même au cœur du chaos. Le précipice sans fin de son absence. Le jardin de notre amour Et puis, il y a cette pensée que Rolland, avec son amour des fleurs, a nourri en moi une passion que je ne soupçonnais pas. En exacerbant la sienne, j’ai trouvé un moyen d’être proche de lui, même lorsque les mots ou les gestes devenaient impossibles. Ce jardin est le lien vivant entre nous, le souvenir d’un amour qui, malgré ses tempêtes, a semé en moi une capacité à aimer autrement, à chérir la délicatesse et la résilience. Je vous invite ici à suivre cette histoire, à explorer avec moi les émotions qui m’habitent, les enseignements que j’en retire. Sous les lunes d’un cœur, il y a un monde à découvrir, fait de passions, de fragilités, et d’une envie profonde de réinventer l’amour. Un jour, il a mis des fleurs dans mon jardin, et depuis lors, c'est le seul lieu où je veux vivre, sous la pluie de nos souvenirs. Je vous invite à découvrir cette délicate chanson d'Emilie Simon qui illustre l'ambiance de ce post.https://www.youtube.com/watch?v=LnjnW9IUeds Selene