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Scénarios Interdits #4 – Le petit stagiaire et la boss

Dernière mise à jour : 8 mai


Scénarios Interdits #4 – Le petit stagiaire et la boss

Version courte à ecouter

L'entretien commence dans un silence lourd. Elle me regarde à peine, mais je sens son regard sur moi à chaque geste que je fais. Chaque mouvement que j'exécute sous son œil perçant, chaque mot que je prononce semble un faux pas. Je suis nerveux, pas sûr de moi. Je sais que j'ai l'air figé dans ce costume trop strict, dans cette apparence qui me semble plus artificielle que jamais.Elle prend la parole d'une voix glaciale, comme si elle me jugeait déjà. Ses mots me transpercent, mais je n'ose rien répondre, alors je me contente d'acquiescer ou de balbutier des réponses.

-Vous vous êtes bien habillé, n'est-ce pas ? Dommage que vos cheveux soient aussi négligés. Vous avez fait des efforts, mais ça ne suffira pas.

Sa voix est froide, tranchante, mais il y a aussi un sous-entendu dans ses paroles, un désir subtil de me déstabiliser. Je me sens tout petit, comme un enfant qui aurait voulu se faire beau pour sa maîtresse et qui se rend compte que ce n'est jamais assez. Elle me scrute du regard, m'évaluant de haut en bas, une expression à la fois amusée et dédaigneuse sur ses lèvres.

-Et en plus, vous semblez un peu… disons, trop doux, non ? Peut-être un manque de virilité ? Ou est-ce que tout ça fait partie du personnage que vous vous efforcez d'incarner ?

Ses mots, pourtant anodins, me frappent en plein cœur. La chaleur monte en moi. Je suis troublé, nerveux, mais je sens aussi quelque chose d'autre s'éveiller. Une excitation incontrôlable, un désir qui se fait plus fort à chaque parole qu'elle prononce, à chaque geste qu'elle fait. Elle a ce pouvoir sur moi, je le sens dans l'air, une emprise subtile mais totale.

Elle se lève, d'un mouvement gracieux, presque comme une danseuse qui se prépare à exécuter son numéro. Ses gestes sont assurés, presque carnivores.Elle saisit mon CV d'un geste distrait, le parcourt une fraction de seconde, puis le déchire brusquement sous mon nez, sans même me regarder. Le bruit du papier se déchirant résonne dans la pièce comme un coup de foudre, un choc. Je suis pétrifié.

-Vous vous attendiez à un entretien normal, non ? Désolée, mais je ne fais pas dans le classique.

Elle s'avance vers moi, un sourire narquois aux lèvres, et me dit de me lever. Je suis à la fois excité et terrifié, mon cœur battant à tout rompre. Mes jambes tremblent, mais j'obéis, mes mains moites glissant légèrement sur la surface de la table, laissant une trace qu'elle ne décèlera pas, je l'espère. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Elle me fait peur… et m'hypnotise à la fois…

Elle me guide jusqu'à un coin du bureau où elle renverse lentement une tasse de café sur le sol. La tache sombre s'étend sur le tapis. La vue du liquide s'étalant me fait frissonner. Elle se tourne alors vers moi, son regard glacé et imposant.

-Ramassez ça. Sa voix est ferme, autoritaire.

-Lèche-le.

Mes muscles se contractent. Je veux me rebeller, mais un désir brûlant me paralyse. Je n'ai pas d'autre choix que d'obéir. Je m'agenouille et, lentement, je me penche vers la tache de café, le goût amer me montant à la gorge. Mes mains tremblent, mais je sais qu'elle m'observe, qu'elle profite de chaque moment de mon humiliation. Je lèche, chaque mouvement de ma langue sur le sol me rapproche un peu plus de l'abîme. Chaque geste me pousse plus loin, mais plus je le fais, plus je sens une excitation monter en moi, incontrôlable, vicieuse. J'ai envie de m'effondrer, mais elle ne me laisse pas de répit. Elle se tient là, droite, fière, dominante, ses yeux rivés sur moi. Je sens que je me resserre dans mon pantalon et cela me rend encore plus mal à l'aise, mais je n'arrive pas à le réprimer.

-Bien. Mais maintenant, je veux voir combien tu peux supporter. Combien tu es prêt à donner.

Elle s'approche de moi, me fixe intensément, et je sens son corps, parfait, se dresser au-dessus de moi. J'ai l'impression d'être sous son contrôle total, que chaque pensée, chaque désir que j'ai est lié à sa volonté. Elle me regarde comme si je n'étais rien de plus qu'un jouet entre ses mains. Et, étrangement, je veux qu'elle me détruise.

Elle se recule légèrement, un sourire en coin, et je comprends que le pire est encore à venir. Elle teste ma patience, mes limites. Elle veut savoir combien je suis prêt à endurer pour elle. Combien je suis prêt à céder.

-Tu veux vraiment ce poste ? Alors prouve-le. Montre-moi ce que tu es capable de faire. Sinon, il n'y a aucune chance que tu sois digne de moi.

Son ton est moqueur, mais il y a une promesse cachée dans ses mots. Une promesse de plaisir, de frustration, d'humiliation, mais aussi de satisfaction. Je suis suspendu à ses lèvres, attendant la prochaine étape, presque désespéré, presque perdu dans mon désir pour elle.Alors elle s'assoit à son bureau, je scrute ses jambes magnifiques, longilignes, galbées dans du nylon.

-Allez, déshabille-toi maintenant totalement et viens t'installer sous le bureau, j'ai très mal aux pieds, tu vas t'en occuper comme un bon stagiaire que tu es. Tu vas me montrer ce que tu sais faire.

Je bredouille, je me demande si elle est sérieuse mais son expression implacable a raison de mes questionnements. Oui, elle me demande de me retrouver nu à la vue possible d'autres employés qui pourraient entrer dans le bureau. Et je suis alors, complètement absorbé par ses mots et comme dans un rêve éveillé. Je retire mes vêtements comme un robot, comme si c'était normal, comme si d'un coup, elle avait scellé ma destinée à ses lèvres. Je ne peux maintenant lui cacher mon trouble et je vois son regard se poser avec insistance sur ce qu'il me reste de masculin.

-Tâche de ne pas te mettre dans des états pareils voyons, tu es indécent et je pourrais avoir envie de te corriger. Installe-toi sous le bureau et occupe-toi de mes pieds.

Je m'assois sur le sol froid qui contraste avec la chaleur qui m'envahit lorsque je retire son escarpin doré. Le contact du collant est tellement doux que j'ai envie d'y plonger mon visage immédiatement. Je me frotte la figure dessus comme un bébé et mes lèvres sont happées par l'envie de goûter les pieds de cette divinité, ce que je fais sans tarder. Elle réagit.

-Eh bien finalement, tu n'es pas si niais que ça. Arrête maintenant, je ne t'ai pas donné cette liberté.

Et alors j'entends des bruits dans le couloir et elle me demande.

-Approche maintenant, je veux bien te voir.

Je sors de ma cachette, vulnérable et nu, et m'approche d'elle. Mon sexe est tendu et presque à hauteur de son visage, des idées m'envahissent et je reste suspendu à ses lèvres. Elle me demande de m'entraîner. Je ne comprends pas bien ce qu'elle veut dire mais elle me fait un geste explicite et je m'exécute dans l'instant… Elle rit en voyant que je la supplie d'arrêter, que je ne peux pas tenir ainsi… et elle lâche :

-Bon, rhabille-toi, tu commences demain à 8h et tu viendras avec un latte du café d'en bas.



Selene


Je vous rappelle que je peux écrire pour vous des scénarios personnalisés plus ou moins intenses, plus ou moins crus pour réveiller votre passion de couple. N'hésitez pas à lire le post correspondant "Les mots du désir" ici. Ou prenez directement un rdv avec moi ici.

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